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Mon offre

J’ai réinventé le coaching : le questionnement y devient entretien, la quête de soi s’habille des conversations. C’est l’exploration des talents de votre iceberg, ceux qui font vibrer votre valeur intrinsèque sans la faire trembler. Vous êtes votre candidat. Vous avez la meilleure équipe. Vous êtes un manager congruent et authentique.

Vous aussi vous êtes convaincu

qu’il est important
de faire cette pause ?

Sans prendre la pause, de trouver la source d’oxygène, les bulles d’air, tremplin à la prise d’élan ?

Mais le coaching vous parait compliqué ?
Onéreux ? Opaque ? Bizarre ?

Discutons en ensemble ! Je vous permet le diagnostic de votre personnalité à travers les objectifs que vous imaginez. Je vous accompagne à travers une offre sur mesure adaptée à votre situation, car chacun est différent.

Qui suis-je

UN CAILLOUX DANS L’ESCARPIN ?

Des graines de grenade dans mes plats, même quand ce n’est plus la saison. Ce n’est pas là, seulement ma signature culinaire délicieusement parfumée, en mode mélange des genres: je suis sucrée-salée, improbable, comme cette manière que l’on apprend de mettre les pieds dans le plat subtilement, avec cette maladresse mi gracieuse mi attachante. Je compose avec ces grains, pour moudre ce qui me tombe sur le pied, sentir le truc qui empêche la mise en mouvement et contraint la mise en abîme pour apporter les détails de la différence : ces pépites que seuls les hypersensibles un peu zébrés perçoivent.  

Une singularité dont on découvre la rareté sur le tard, si précieuse et à peine assumée pourtant, à l’image d’un tableau si coloré qu’il en effraie les sens. A choisir, au pays du Jasmin, je serai MARGOUM, pittoresque et résistant, aux effets d’optique qui piègent le losange de fertilité dans un écrin imprécis de généreuse douceur. Artisanaux dans toutes leurs splendeurs et dimensions, les margoums sont uniques, aucun ne se ressemble, aucun ne rentrera dans un standard imposé.

veéjà échaudée des cadres trop stricts, de l’école peu élémentaire, je me suis enfuie, à seulement 4 ans : une échappée, pour moi, la belle, qui aura connu quelques mois auparavant cette nonchalance lénifiante, celle qui ne sert à rien mais qui met du sel partout, celle d’avoir cette liberté de marcher pieds nus sur des sols chauds de Tunisie, dont la température est suffisamment engageante pour ne pas bruler des velléités naissantes, mais avec assez d’aplombs et de mains sur les hanches pour accéder directement à  la cours des grands et à un enseignements hauts en couleurs. Mieux que mes 6 années de fac, ce sera un apprentissage suspendu, venu tout seul à moi sans que j’aille le chercher, dans une région où les femmes n’allaient pas encore dans les cafés. De pieds nus, je passerai à des combats engagés pieds à pied, ou elles contre ailes.

L’année de mon bac, je fais un job d’été et j’empile des boites, dans la boite où mon père est ouvrier. C’était fait, on me mettait un pied dans l’industrie, je suis mi technique, mi administrative, pas question de figue ni de raisin ici. L’autre pied suivra les rouages RH de la maintenance nucléaire, regardant parfois derrière l’épaule, mes rêves de littérature. La même année de the bac, je visite le site de la centrale Nucléaire du Bugey et prends ce plaisir de grande sœur à expliquer au ptit frère, qui m’y accompagne. « C’est là que tu travailleras » me souffla mon autre pied un peu gauche. Je prends cette voie par accommodation chancelante, fortement aiguillée par la revanche d’un père ouvrier voulant sa fille dans un bureau plutôt qu’à l’atelier, encore un choix d’homme pour une femme. Mes ailes poussent de l’intérieur. Après tout, je manie mieux les idées, les contradictions, les complexités et les analyses, chacun ses outils.

Petite, je me pensais médecin, pour soigner, donner vie à la vie et un sens plus grand que le sens. Aujourd’hui j’aurai été une Knock, les réquisits scientifiques ont eu raison de mon âme de rêveuse littéraire contrariée. De ce projet, il restera le H de Humain et la certitude que mon empathie servira les évolutions des autres. Départie de ce projet faussement moi de devenir une grande DRH, après plus de 20 ans de tentatives de rationalités disruptives, je ne prends pas le risque de mettre les deux pieds dans un même Louboutin et me révèle au coaching, qui me faisait du pied, depuis quelques années, puis à la facilitation, qui tombe à pic pour une personne qui aime jouer centre gauche avec un cerveau droit. La vie redistribue les cartes et, enfin, me redonne la balle. Je dévore les podcasts Boomerangués en replay, je chemine de paroles Trapenardes et Totémiquement savoureuses. Je crois dans le pouvoir  des mots, à leur jeu,  à la possibilité qu’ils ont de toucher, de sensibiliser,  de créer et de faire avancer. Je suis véloce à l’écrit et plus prudente à l’oral. L’écrit, lui, il me semble, qu’il expose davantage, il faut prendre le temps. L’effet des mots écrits n’en n’est pas moins atomisant. Faire de cette passion des mots,  son métier, un avatar, je gagnerai Trafalgar peut-être un jour. Vivre du luxe des mots, quelle idée brillante, filante de créativité, pétillante d’audace.  

Regard contre mots, plus qu’un coaching

 une signature

Où l’on traverse le miroir et on revient avec une meilleure version de soi.